Investir sur la Côte Atlantique : pourquoi s’éloigner du littoral ?

Un joli pied à terre proche de l’océan ? Un rêve pour de nombreux citadins et vacanciers ! Avec près de 5 000 kilomètres de façades maritimes, le littoral français est considéré comme l’un des plus beaux du monde. Ultra-prisées, nos côtes attirent les convoitises et les investisseurs désireux d’accéder, eux aussi, à un petit coin de paradis « Made in France » entre traditions et authenticité. Rendue célèbre dans les années 60 par les stars de cinéma, la Côté d’Azur, est aujourd’hui devenue quasi inaccessible à la majorité des ménages français. Exit la croisette et la Promenade des Anglais, la palme d’or des villégiatures abordables revient depuis quelques années à la région Nouvelle-Aquitaine.

L’esprit nouvelle vague

Des plages de sable fin à perte de vue, des vagues qui déferlent les passions chez les sportifs de tout âge, de l’espace pour jouer aux raquettes ou construire le plus beau château de l’été… il suffit de passer la dune pour embrasser d’un regard l’étendue de ce  vaste et sublime paysage. Ici, on n’est pas les uns sur les autres, on y dépose sa serviette et on plante son parasol où on veut, on vient en famille pour se détendre… L’Atlantique c’est le plaisir de la simplicité.

Des accès en roue libre

Et lorsque simplicité rime avec facilité, l’engouement est à son comble. Depuis quelques années, la mobilité au sein de la région est devenue un enjeu majeur des élus. Les réseaux routiers et ferroviaires ont fortement été améliorés. Plus de 1 200 km de pistes cyclables sur 56 voies vertes ont été créés. Le vélo y est devenu roi ! Quelques coups de pédales suffisent à rejoindre la plage, mais aussi les nombreux lacs et étangs qui baignent la pinède.

Aller là, où le courant nous mène…

Acquérir un bien immobilier en Nouvelle-Aquitaine c’est vouloir profiter des meilleurs spots de baignade sans avoir à choisir entre l’eau douce et l’eau salée. C’est pouvoir faire du paddle sur un étang le matin et admirer le soleil embraser l’océan le soir venu. Autrefois en vogue, les stations balnéaires de la côte Atlantique cèdent place aux terrains plus en retrait. Abritées des tempêtes et des embruns, protégées du sable contre lequel il faut sans cesse lutter, moins touristiques, plus calmes… les habitations des charmants villages ruraux construits à l’apogée de l’exploitation forestière font désormais foie en matière de logements.

Bien vivre sa ville

Attractifs, les centres bourgs sont davantage accessibles en voiture, dynamiques été comme hiver, possèdent plus de commerces et de services de proximité, sont pourvus d’établissements scolaires et parfois même équipées d’une gare. Les communes, conscientes qu’elles pouvaient tirer profit de leur quasi-proximité avec l’océan ont développé un fort réseau de navettes avec un accès direct aux plages. On laisse la voiture au garage !

Panorama : un indispensable ?

Plus responsables, les modes de transport participent ainsi à la préservation de l’environnement. L’air y est pur même si la vue n’est pas sur mer. Dans les terres, pas de terrasse surplombant l’océan, mais un jardin, de beaux volumes voire une pièce supplémentaire… pour un prix plus accessible. Tout est une question de choix ou d’envie, pourrait-on conclure, mais après avoir passé un printemps confiné, la priorité semble aujourd’hui davantage portée sur le besoin d’espace que sur l’existence d’une jolie vue.